Les résidents sont incités à prendre des précautions quand la qualité d’air est mauvaise

Fourni par le BSEO
Les résidents sont incités à prendre des précautions quand la qualité d’air est mauvaise

Environnement et Changement climatique Canada et le ministère de l’Environnement et de l’Action en matière de changement climatique de l’Ontario ont émis un bulletin spécial sur la qualité de l’air dans la région de l’Est ontarien. Lorsque la Cote air santé (CAS) atteint le niveau 7 ou plus (niveau de risque élevé à très élevé) à l’extérieur, il vous faudrait prendre des précautions pour vous et vos proches. Le Bureau de santé de l’est de l’Ontario (BSEO) recommande aux résidents de surveiller la qualité d’air et d’éviter les activités de plein air vigoureuses pendant que la qualité d’air est mauvaise, puisqu’elles peuvent causer des symptômes de maladie respiratoire comme la toux et l’essoufflement.

Voici des conseils pour vous protéger, vous et les personnes dont vous prenez soin lorsque la qualité d’air est mauvaise :

  • Les nourrissons, les jeunes enfants, les personnes âgées, les gens atteints de troubles cardiaques ou respiratoires, et toutes autres personnes à risque devraient rester à l’intérieur. L’exposition à l’air pollué est particulièrement préoccupante pour les enfants, les personnes âgées et celles qui sont atteintes de conditions médicales sous-jacentes, comme les maladies pulmonaires ou cardiaques.
  • Restez à l’intérieur si vous avez du mal à respirer. Trouvez un endroit frais et bien aéré. Les filtres à air et les climatiseurs d’air qui rafraîchissent les pièces peuvent aider. Si vous ouvrez les fenêtres, vous pourriez laisser entrer de l’air pollué. Si votre maison n’est pas climatisée, songez à vous rendre dans un lieu public climatisé (p. ex., une bibliothèque, un centre commercial ou un centre de loisirs).
  • Évitez les activités épuisantes. En plein air, s’il est difficile de respirer ou si la respiration gène, cessez ou diminuez les activités physiques vigoureuses. En cas d’irritation des yeux, du nez ou de la gorge, d’essoufflement ou d’autres symptômes respiratoires, prenez les mesures nécessaires pour diminuer l’exposition à la pollution de l’air de l’extérieur.
  • Évitez les endroits où la circulation automobile est dense et limitez le temps passé dans les endroits dont l’air est fortement pollué, comme les rues achalandées et les secteurs industriels pendant les heures de pointe, surtout pendant vos exercices.
  • Disposez d’une quantité suffisante de médicaments (pour plus de cinq jours) et préparez un plan en collaboration avec votre fournisseur de soins de santé pour savoir gérer votre maladie pendant les périodes de mauvaise qualité d’air.

Les effets potentiels d’une mauvaise qualité d’air sur la santé incluent l’irritation des yeux, du nez et de la gorge; la toux et la respiration sifflante; l’aggravement des symptômes chez les personnes qui souffrent de maladies pulmonaires (ex. asthme, MPOC), de difficulté à respirer, de capacité pulmonaire réduite; une moins forte résistance aux infections; des maladies du cœur ou pulmonaires aggravées; une augmentation des visites à l’urgence et des admissions à l’hôpital, et la mort prématurée.

Pour mieux vous protéger lorsque la qualité d’air est mauvaise, consultez : http://www.qualitedelairontario.com/aqhi/health_messages.php et

https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/services/cote-air-sante/risques-sante-pollution.html.

Pour un supplément d’information, visitez https://eohu.ca/fr/heat/air-quality ou appelez au 613-933-1375 ou 1 800 267-7120.

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